« Il n’y a qu’une chose de sûre: à la fin la mort l’emporte . Je vais mourir et vous aussi. »
Jean d’Ormesson
En un énoncé , Jean d’Ormesson démythifie le tabou de la mort.
S’il est une chose que peu osent , c’est bien de nous dire la réalité de nos existences
respectives.
Nous sommes tous voués à mourir
En cette finalité nous sommes égaux .
Et c’est précisément là que se terre le sublime de la mort.
En son universalité.
À déifier des Hommes, nous avons omis de penser la condition humaine en ce qu’elle recèle
de mortelle.
Nous vivons et puis tôt ou tard, nous mourons.
Que s’effrayer face à l’évidence la plus aboutie de nos certitudes?
En ce sens, la mort apparaît plus douce .
Des fantaisies quant à ce qui se passe après , Jean d’Ormesson ne dit rien .
C’est là raison et folie à la fois.
Raison en ce que seule l’expérience de la mort peut nous dire de l’après .
Folie en ce qu’il nous abandonne à nos croyances ou espérances intimes .
Tout le génie de l’homme d’esprit est en cette dialectique qui nous fait aller de raison
en folie sans jamais vraiment toucher du doigt ce qui est réellement .
La vie nous oppose là où la mort dispose de nous unir .
Quel bel exposé sur l’égalité de l’être mortel .
Avant d'être le gâteau que nous connaissons tous, le 24 au soir, à partir du XIIe siècle, on procédait dans la plus part des pays d’Europe à l’allumage d'une vrai buche de bois, désignée sous le nom de la «bûche de Noël». Cette cérémonie de la plus haute importance débute dès la nuit tombée, en présence de toute la famille, grands et petits, serviteurs compris.
Après avoir nettoyé l’âtre, on y place des charbons de la bûche de Noël de l’année précédente, que l’on a conservé pour protéger la maison de la foudre et des autres calamités. Alors on installe «la Bûche», mais pas n’importe laquelle. Cette dernière aura été coupée avant le lever du soleil. Elle provient d’un arbre fruitier pour assurer les bonnes récoltes. La plus grosse possible, car elle doit pouvoir bruler 3 jours et 3 nuits, voire plus.
Selon les régions, les rites varient. Tantôt, c’est le père, tantôt, c’est la mère, tantôt, c’est le plus jeune qui procède à l’allumage. On arrose la bûche de vin chaud, ou de cidre, ou d’alcool pour assurer de bonnes récoltes. On y jettera aussi une pincée de sel contre les sorcelleries et les mauvais sorts, ou encore du lait et du miel en souvenir du paradis.
Pendant l’allumage, les enfants sont envoyé à prier au fond de la salle, tournés vers le mur. Les adultes placent alors des friandises sur la bûche pour leur faire croire que la bûche les a apportés pour Noël. La coutume cesse au XIXe siècle avec la disparition des âtres dans les maisons. Nait alors, pour souligner l’ancienne tradition, l’exercice de confectionner et consommer pour Noël un gâteau roulé en forme de bûche, puis garnis de sucre à glacer ou de chocolat.
Cette clé dont le secret tenaille
mon envie de bricoler
Il était une fois une paire de tenaille installée tranquillement avec son amie du sérail
sur le rebord d'une muraille. La première attendait depuis longtemps cet instant où
elle pourrait dire à sa meilleure amie un secret conservé depuis longtemps dans les
ateliers d'un vieux monsieur parti pour un grand Voyage.
La paire de tenaille se demandait bien pourquoi le vieux monsieur avait ainsi tenu
secret une nouvelle aussi fabuleuse pour les humains. La clé à bec, toute étonnée,
semblait déjà connaitre le fin mot de l'histoire mais n'osait décevoir son amie tenaillée
par le secret espoir de pouvoir clamer sa trouvaille à toute la contrée. Cette dernière
ne put tenir son secret et déclara: "...Je dois te dire que j'ai découvert dans la boîte
à outils de feu Monsieur Demaison une lettre dans laquelle il dit que nous étions ses
outils préférés". Interloquée par une telle confidence la clé à bec se mit à pleurer
et rétorqua à son amie: "Oui, je savais, il me l'avait dit, il m'avait même confié
un jour que nous étions pour lui les deux faces de la vie sur terre. Moi, à cause
de ma capacité de dévisser les boulons les plus rebelles et toi à cause de ton
aptitude à arracher les pointes de l'existence qui font le plus mal".
On dit que la paire de tenaille et la clé à bec restèrent toute la nuit à méditer
ce secret.
Depuis, chaque fois que j'utilise ces deux outils, il me semble que la matière
retrouve ses esprits. Il m'arrive même de penser que les humains sont parfois
entre les mains de leurs outils.
Marc Maronne
"Il existe une forme de tristesse qui naît du fait d'en
savoir trop, de voir le monde tel qu'il est vraiment.
C'est la tristesse de comprendre que la vie n'est pas une
grande aventure, mais une succession de petits moments
insignifiants, que l'amour n'est pas un conte de fées,
mais une émotion fragile et fugace, que le bonheur n'est
pas un état permanent, mais un aperçu rare et fugace de
quelque chose auquel on ne peut jamais s'accrocher.
Et dans cette compréhension se cache une profonde
solitude, un sentiment d'être coupé du monde, des
autres, de soi-même."
Virginia Woolf, Vers le phare
Avec
près de 30 livres écrits sur le thème de la psychologie et du
développement personnel à son actif, et plus d'une centaine
d'articles parus dans différents journaux ou magazines russes ou
internationaux, le Docteur Mikhaïl Litvak est sans aucun doute l'un
des psychiatres les plus connus et les plus réputés dans le
monde. Aujourd'hui, il livre 5 règles à suivre si vous
souhaitez changer de vie:
1.
Le bonheur d'une vie bien organisée : Eh
oui. Le bonheur n'est certes pas une science, mais il est tout
de même plus facile de provoquer et d'attirer vers nous si nous
menons une vie relativement bien organisée.
D'après Mikhaïl Litvak, il est important de s'occuper et d'être énergique et motivé pour expérimenter ces sensations de bien-être et de sérénité tant souhaitées. «Ces sensations n'apparaitront pas toutes seules du jour au lendemain… il faut les mériter! », Explique le psychiatre et psychothérapeute russe.
2. N'oubliez pas que vos proches ont le droit d'émettre des opinions différentes des vôtres : Nous avons tendance à oublier ceci, mais les personnes qui économisent notre vie n'ont pas pour obligation de partager les mêmes convictions que nous… « C'est également le cas pour nous », rappelle le Docteur Mikhaïl Litvak. Et attention «nous ne sommes pas obligés d'être d'accord sur tout avec nos proches.
Et heureusement d'ailleurs! Le fait que nous puissions échanger sur nos divergences d'opinions est une richesse que nous sommes censés chérir et cultiver. Les gens ont trop souvent peur de l'inconnu, c'est ce qui les amène à vouloir convaincre à tout prix leurs proches que ce sont eux qui ont raison sur tout! ».Apprenez à tendre l'oreille et à écouter les autres, vous n'en serez que plus épanoui, car vos proches essaieront à leur tour de vous écouter et de vous comprendre…
3. Apprenez à vivre pour vous et non pas pour les autres : «Votre bonheur ne dépend pas de celui des autres». Vous avez dû entendre cette phrase une centaine de fois dans votre vie, et c'est pourtant vrai. Le bonheur est quelque chose de propre à vous et il n'est censé dépendre que de vous, et pas des autres !
Pourtant, il arrive souvent que nos humeurs dépendent de ceux qui nous entourent et qu'on se sente occupés par leurs problèmes ou leurs états d'âme. Apprenez à prendre du recul si vous souhaitez vivre et rester heureux. Vivez en fonction de vos envies et de vos humeurs.
4. Apprenez à vous recueillir et à rester seul lorsqu’il le faut : La capacité que quelqu’un a à pouvoir se retrouver seul et à pouvoir méditer peut en dire long sur son niveau de maturité. Une personne mature n’aura pas peur de la solitude et n’aura aucun problème à se retrouver seule avec elle-même, bien au contraire.
Celle-ci ne cherchera pas à remplir un vide affectif en étant tout le temps en compagnie de quelqu’un. Le bonheur passe parfois par le fait de s’imposer des moments de solitude afin de se réconcilier avec soi et d’apprendre à mieux s’aimer, tout simplement.
5. Soyez votre meilleur-ami : Si vous souhaitez être heureux, commencez d'abord par vous valoriser et par vous écouter. Personne ne vous connait mieux que vous-même. Alors n'accordez-vous pas de l'importance à ce que vous pensez ?
Pour quelles raisons ne prenez-vous pas le temps nécessaire pour vous écouter et pour vous rassurer et vous valoriser par vous-même ? N'attendez pas des autres de le faire à votre place: faites-le pour vous-même, pour votre bien-être!
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