Il a suffi d'un virus lointain pour que le cours de nos vies soit bouleversé. "Vivre, ce n'est pas attendre que l'orage passe, c'est apprendre à danser sous la pluie", disaient les Anciens. Je suis convaincu que plus rien ne sera comme avant et qu'il nous faut apprendre à développer nos ressources intérieures pour vivre le mieux possible dans un monde imprévisible.
F. L.
Pour traverser ces temps difficiles, cet ouvrage optimiste nous invite à revenir à l’essentiel, à entretenir la joie et la sérénité malgré l'adversité. Frédéric Lenoir nous y montre comment les grands philosophes du passé, mais aussi les neurosciences et la psychologie des profondeurs, peuvent nous y aider, et pourquoi cette crise est une occasion de changer notre regard, nos comportements, de devenir davantage nous-mêmes, de mieux nous relier aux autres et au monde.
Frédéric Lenoir nous donne les clés du bonheur (presque) retrouvé. Le Parisien Week-end.
Son livre invite à grandir.
Nice Matin.
Avant d'être le gâteau que nous connaissons tous, le 24 au soir, à partir du XIIe siècle, on procédait dans la plus part des pays d’Europe à l’allumage d'une vrai buche de bois, désignée sous le nom de la «bûche de Noël». Cette cérémonie de la plus haute importance débute dès la nuit tombée, en présence de toute la famille, grands et petits, serviteurs compris.
Après avoir nettoyé l’âtre, on y place des charbons de la bûche de Noël de l’année précédente, que l’on a conservé pour protéger la maison de la foudre et des autres calamités. Alors on installe «la Bûche», mais pas n’importe laquelle. Cette dernière aura été coupée avant le lever du soleil. Elle provient d’un arbre fruitier pour assurer les bonnes récoltes. La plus grosse possible, car elle doit pouvoir bruler 3 jours et 3 nuits, voire plus.
Selon les régions, les rites varient. Tantôt, c’est le père, tantôt, c’est la mère, tantôt, c’est le plus jeune qui procède à l’allumage. On arrose la bûche de vin chaud, ou de cidre, ou d’alcool pour assurer de bonnes récoltes. On y jettera aussi une pincée de sel contre les sorcelleries et les mauvais sorts, ou encore du lait et du miel en souvenir du paradis.
Pendant l’allumage, les enfants sont envoyé à prier au fond de la salle, tournés vers le mur. Les adultes placent alors des friandises sur la bûche pour leur faire croire que la bûche les a apportés pour Noël. La coutume cesse au XIXe siècle avec la disparition des âtres dans les maisons. Nait alors, pour souligner l’ancienne tradition, l’exercice de confectionner et consommer pour Noël un gâteau roulé en forme de bûche, puis garnis de sucre à glacer ou de chocolat.
Les temps de transport en France en 1765.
Le temps long.
Voici une carte représentant les temps de transport en France en 1765.
Ainsi pour aller de Toulouse à Paris par coche ou carrosse, il m'aurait fallu 16 jours ...
A vous de vous amuser à calculer vos temps de trajet sous le règne de Louis XV.
Et
dire que je râle quand je suis coincé dans un embouteillage
Source : La France des Lumières, 1715-1789, coll. Histoire de France sous la direction de Joël Cornette, éd. Belin.
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