Hier, j'ai lu cette petite pépite...
Une histoire très jouissive dans laquelle un gros connard tombe dans le coma et en prend plein la tête par sa femme, ses enfants, ses amis, ses maîtresses... Lui qui se croyait superman et qui n'avait réussi qu'à devenir un horrible crétin égoïste, se voit donner une autre chance pour rattraper sa vie qui part en miettes ...
Très bon livre qui remet au coeur de la vie ses vraies priorités.
Le titre est long... une spécialité de l'auteur apparemment, mais le livre est court et très facile à lire.
Merci beaucoup à la personne qui l'avait conseillé en même temps que "Là où chantent les écrevisses ' que j'avais énormément aimé aussi.
Cent
ans de solitude
Gabriel
GARCIA MARQUEZ
La
famille Buendia, traverse guerres et révolutions dans une Amérique
du Sud où tout est à conquérir.
De
caractères forts en beautés inégalables, la famille de José
Arcadio et Ursula batit et voit évoluer le village de Macondo.
Des
heures les plus heureuses aux heures les plus sombres, les
descendants Buendia sont ancrés à leur tumultueux destin.
Un
livre fort compliqué à lire quand on décroche pendant 2 ou 3
jours... Des José et des Aureliano à n'en plus finir J'en
suis venue à bout parceque je suis en vacances sinon j'aurais
lâchement abandonné. Dommage car j'ai bien aimé l'histoire, qui
oscille entre le récit aux airs quasi historiques et la fable avec
des moments emplis de magie : les trouvailles des gitans, le lien
entre le monde des vivants et celui des morts...
Je viens de terminer ce petit bijou! Quelle belle lecture! Lu d’une traite. Émouvant, une amitié qui se construit petit à petit une lettre à la fois. L’écriture qui sauve et libère l’âme. Les hommes ont besoin d’écrire.
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1. lionel71300 le 06-02-2025 à 14:54:44 (site)
tres jolie abbaye bonne fin de semaine bisou a toi
Quand tu sais que tu as merdé mais que tu ne répares pas, ne t’excuses pas et que tu préfères ghoster …
C’est pas l’ignorance.
C’est pas l’oubli.
C’est un choix.
Tu sais que tu as blessé. Tu sais que tu as dépassé les bornes. Tu sais que c’est toi.
Et pourtant… tu fais comme si de rien n’était.
Qu’est-ce que ça dit ?
Ça dit que ton ego passe avant ta vérité.
Ça dit que ton confort vaut plus que ta conscience.
Ça dit que ton image t’importe plus que ta relation.
Te taire quand tu sais que tu as fauté, c’est creuser ta propre tombe intérieure.
C’est renier ton courage. C’est pactiser avec la lâcheté.
S’excuser, c’est lourd pour l’orgueil.
Mais ne pas s’excuser, c’est lourd pour l’âme.
Chaque fois que tu refuses de réparer, tu renforces ta prison intérieure.
Chaque fois que tu choisis le silence, tu nourris le poids que tu finiras par porter seul.
On ne demande pas la perfection.
On demande le courage d’être vrai.
Tu as merdé ? Assume. Dis-le. Répare. Même si c’est maladroit. Même si c’est inconfortable.
Sinon, sache une chose : ce n’est pas la faute qui te brisera. C’est ton silence.
Rien n’est jamais juste noir ou juste blanc, cependant l’essence de ce message, reste quand même vraiment pertinent
Ours Sage
Avant d'être le gâteau que nous connaissons tous, le 24 au soir, à partir du XIIe siècle, on procédait dans la plus part des pays d’Europe à l’allumage d'une vrai buche de bois, désignée sous le nom de la «bûche de Noël». Cette cérémonie de la plus haute importance débute dès la nuit tombée, en présence de toute la famille, grands et petits, serviteurs compris.
Après avoir nettoyé l’âtre, on y place des charbons de la bûche de Noël de l’année précédente, que l’on a conservé pour protéger la maison de la foudre et des autres calamités. Alors on installe «la Bûche», mais pas n’importe laquelle. Cette dernière aura été coupée avant le lever du soleil. Elle provient d’un arbre fruitier pour assurer les bonnes récoltes. La plus grosse possible, car elle doit pouvoir bruler 3 jours et 3 nuits, voire plus.
Selon les régions, les rites varient. Tantôt, c’est le père, tantôt, c’est la mère, tantôt, c’est le plus jeune qui procède à l’allumage. On arrose la bûche de vin chaud, ou de cidre, ou d’alcool pour assurer de bonnes récoltes. On y jettera aussi une pincée de sel contre les sorcelleries et les mauvais sorts, ou encore du lait et du miel en souvenir du paradis.
Pendant l’allumage, les enfants sont envoyé à prier au fond de la salle, tournés vers le mur. Les adultes placent alors des friandises sur la bûche pour leur faire croire que la bûche les a apportés pour Noël. La coutume cesse au XIXe siècle avec la disparition des âtres dans les maisons. Nait alors, pour souligner l’ancienne tradition, l’exercice de confectionner et consommer pour Noël un gâteau roulé en forme de bûche, puis garnis de sucre à glacer ou de chocolat.
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